Fichiers business (entreprises, décideurs, professions libérales, administrations…) ou fichiers consommateurs (profils, centres d’intérêt, comportements…), voici comment se construisent les solutions sur-mesure pour toucher votre cible.
4 + 1 clefs pour composer un bon fichier
1 – Commencer par l’analyse de votre attente et de votre objectif.
Si par exemple vous souhaitez envoyer une communication via email, il est indispensable de vérifier que votre objectif soit réalisable compte tenu des données disponibles. Il ne s’agit évidemment pas de remettre votre stratégie en cause, mais à la manière d’un bureau d’études qui valide un projet d’architecte, l’objectif est de valider vos chances de succès.
Il arrive en effet qu’un projet ne soit pas réalisable pour différentes raisons. Alors autant vous le dire et vous proposer une autre approche.
2 – Faire le tour des sources et choisir les meilleures.
Origine des informations, fiabilité de la collecte, moyens de qualification des profils, méthodes et fréquence des enrichissements et mise à jours, critères de sélection des prospects dans les bases de données… Tous ces éléments (ajoutés à quelques aspects techniques) se combinent pour sélectionner les sources et composer votre fichier sur-mesure à partir des centaines référencés. Evidemment la créativité a aussi toute sa place dans le processus…
3 – Et puis RGPD, bloctel, RNVP…
Certains de ces acronymes sont plus connus que d’autres. Ils décrivent les obligations légales en matière de data et qu’il faut prendre en considération.
4 – Enfin le budget.
Coût acceptable (tout le monde n’a pas un budget infini), et retour sur investissement sont les clefs du succès. Là encore de nombreux paramètres, immédiatement visibles ou moins évidents, sont à considérer.
Voici donc les principaux ingrédients pour la composition d’un bon fichier.
+ 1.
L’expérience acquise depuis 1993.
Exemple d’une source de données
L’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) recense la totalité des entités juridiques en France. Cela pourrait être une bonne base pour constituer un fichier de prospection.
Cependant, avec un historique de plusieurs décennies, les données de l’Institut sont initialement destinées à être exploitées dans les études économiques. En effet, la base brut représente plus de 50.000.000 d’enregistrements, mais la partie vraiment exploitable en marketing direct se réduit à une portion de seulement 10 à 15%.
Malgré cela, certains affichent un nombre bien plus grand d’entreprises incluant parfois celles radiées, en procédure de redressement… Si ce choix se justifie dans certains cas, est-ce pertinent pour vous ?
Il faut donc trier, croiser, et cibler suivant le besoin avant d’enrichir avec tout ce qui ne se trouve pas encore dans le fichier.
Evidemment d’autres exemples existent aussi, cette fois dans le domaine de la data de consommateurs.
Le contenu des fichiers
Suivant votre besoin, vous pouvez demander les noms (ou noms d’entreprises), adresses, téléphones, emails, données économiques (entreprises) ou comportementales (consommateurs).
D’autre part, nous pouvons compléter les informations standards par des qualifications et enrichissements à la demande. Enfin, suivant le cas, vous pouvez demander un fichier pour une utilisation unique (location) ou multiple (achat).
Voici un rapide survol des points où l’accompagnement d’un spécialiste est un investissement utile (et parfois indispensable) au succès de votre opération.
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